La lettre de l'AMA

Aujourd’hui peu d’organismes ou d’associations proposent un enseignement académique du dessin et de la peinture.

C’est pourtant à cette découverte que l’AMA invite ses adhérents dans le cadre prestigieux du Musée d’Art Roger Quilliot.

Les « Chevalets » s’inscrivent dans une démarche d’initiation au dessin et à la peinture, à partir des œuvres présentées dans les collections permanentes ou lors des expositions temporaires.

Sous la conduite de Laurent Savoie, diplômé des Beaux-Arts , enseignant apprécié de ses élèves depuis plus de 25 ans, chaque participant entreprendra cette démarche passionnante, simple à énoncer (et peut-être un peu moins à réaliser …) :

« Observer, et retranscrire ce que l’on voit par le dessin »

Cet enseignement s’adresse à tous niveaux (débutants ou expérimentés) et ne nécessite aucune aptitude particulière si ce n’est l’envie de la découverte, un minimum de rigueur et … de patience.

Dans la pratique, il s’agira dans un premier temps d’apprendre à observer et à réaliser des croquis rapides, simplifiés, pour entraîner le regard et la main, se familiariser avec l’objet étudié, mieux comprendre ses formes (angles, directions, pleins, vides, ...) et ses valeurs.

Ensuite viendra le temps d’envisager des dessins plus aboutis sur de plus grands formats et, ultérieurement le travail à la peinture, s’inscrira logiquement dans la progression pédagogique.

En complément du cours, le professeur pourra proposer une réflexion sur les œuvres étudiées afin de mieux les comprendre et de les resituer dans un contexte d’Histoire de l’Art,

Ces cours s'adressent aux adultes (adolescents à partir de 14 ans) à raison de 2h par semaine, d’octobre à juin (hors vacances scolaires).

Le nombre de participants est limité à douze par séance, ce qui garantit une démarche pédagogique de qualité, ainsi qu'une réelle convivialité au sein des groupes.

Renseignement et inscriptions auprès du correspondant des Chevalets : Jean Mazade : 06 71 82 69 55 ou chevalets.ama@gmail.com

À Riom, l'Inrap a mis au jour les vestiges d'un village carolingien. Les maisons à demi enterrées, les outils, les séquelles d'activité et les traumatismes identifiés sur les squelettes évoquent une population de statut médiocre, esclaves ou serfs, au service d'un seigneur.

Pour découvrir l'article rédigée par les services de l'Inrap, vous n'avez qu'à cliquer.